Voilà, les fêtes sont passées. Tous, ou presque, ont repris le chemin du travail et les élèves sont retournés sur les bancs d’école.
De mon côté, après une visite dans la grande ville pour voir les enfants et petits enfants, l’inspiration et la création sont à nouveau à l’ordre du jour. Mon cerveau bouillonne d’idées de toutes sortes, mais avant tout je dois me concentrer sur notre roman à Georges et à moi. La phase d’écriture achève (plus qu’une journée ou deux). Ensuite viendront la relecture, une première vérification et l’envoi dans un comité de lecture et de correction. Pour finir, et c’est ce à quoi nous nous attèlerons la semaine prochaine, la production du livre en tant que tel. Si tout fonctionne comme nous l’espérons, nous serons prêts à vous présenter notre «bébé commun» fin avril.
D’ici là, je vous donnerai un suivi de l’avancement du processus de publication. Ce que je peux vous dire aujourd’hui, et j’espère que vous serez d’accord, vous ne serez pas déçu par cet ouvrage.
Comme je l’ai déjà dit, cette expérience toute nouvelle pour une auteure comme moi a été très enrichissante et je vais certainement «m’ennuyer» à écrire toute seule. Mais rassurez-vous il devrait y avoir d’autres collaborations entre Georges et moi. Durant notre dernier voyage, plein d’idées nous trottaient dans la tête. Mais chuttt ! ce n’est pas encore le moment de tout dévoiler.
Je me trouve privilégiée de pouvoir vivre et faire ce que j’aime dans un pays comme le nôtre. C’est sûr que tout n’est pas rose. Mais si nous nous comparons avec le reste du monde où les guerres font partie du quotidien de toutes ces populations, nous sommes chanceux. S’il était possible d’inventer une histoire, un conte et qu’il prenne vie pour que la terre entière devienne un havre de paix aux quatre coins du globe, je me mettrais à mon clavier sans plus attendre. En contrepartie, j’essaie d’apporter un peu de rêve ou de distraction à ceux qui me lisent et je vous en remercie du fond du cœur.
Photo prise l’année passée en plein cœur de l’hiver.
Belle semaine à tous.
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