Woww!! La vie est belle pour moi. Cet été, j’ai le bonheur de rencontrer des gens formidables avec lesquels je partage mon plaisir d’écrire. Je découvre alors que d’autres ont le même plaisir et osent coucher sur papier leurs émotions pures.
Pour la troisième fois, un homme s’est joint à notre groupe pour le plaisir de chacune de nous. Je le remercie et le félicite.
En leurs noms à tous, je vous offre ces cadeaux.
Les Îles-de-la-Madeleine, cet endroit rempli de trésors et de personnes sympathiques.
Je suis nostalgique vers mon retour vers Montréal. Je me demande à quel endroit je pourrais faire la rencontre de ces Îles si paradisiaques.
Lorsque je pense aux Îles, je suis submergée d’émotions, de bons moments passés avec les Madelinots. Quel peuple accueillant, gentil! C’est incroyable la sincérité et le dévouement des gens des Îles. Il n’y a rien à leur épreuve. Ils étaient toujours là pour me mettre à l’aise.
Je garde de bons moments lors de mon voyage. J’ai plein de belles images cachées au fond de ma mémoire. Je suis époustouflée par la beauté des falaises rouges, le paysage verdâtre, les magnifiques maisons et la beauté de ses places et de la mer.
Les Îles! Il n’y a pas assez de mots pour te décrire. Il faut absolument que je revienne te revoir. Tu vas me manquer.
Jocelyne Thibault
Voyage aux Îles.
Sans aucune attente, je me suis rendue sur ces Îles.
À bord d’un bateau enchanteur, la traversée fut un enchantement.
La mer dansait pour moi et m’a ensorcelée.
C’est alors que je les aperçus.
J’étais déjà conquise. Tout ce que je vis aux Îles m’enveloppa de paix, de quiétude.
Les paysages aux multiples visages, le Sud et l’Europe ont tout à envier à cette région.
Comme j’aimerais posséder une des maisons colorées qui sillonnent ses côtes.
Faute de sous, je promis d’y retourner chaque été et d’en parler à tous.
Christine Carrier
Sur ce navire…
Sur ce navire, je vois des couples et des familles. Je vois aussi des personnes seules qui osent faire une croisière sans âme sœur…
Ils et elles viennent ici avec leurs épreuves, leur courage, leur histoire et surtout avec leur espoir…
Chaque histoire de vie est une histoire de courage…
En fait, une croisière c’est un grand voyage de « tout seul ensemble » comme le chantait Daniel Bélanger. Quelque part, c’est le voyage de l’humanité…
Paul Carrière
Les îles à Madeleine
Îles de verdure.
Îles de drôle de parlure.
Îles de petites maisons colorées,
Toutes éparpillées.
Îles aux majestueux rochers rouges
Qu’à ses pieds la mer sans cesse bouge.
Îles où le cœur de ses habitants
Nous accueille comme ses propres enfants.
Merci Madelinots pour tant de bonté
Et tant de beauté.
Nous nous souviendrons longtemps de vous
Et c’est avec joie que l’on se redonne rendez-vous.
Anne Boissonneault
Îles-de-la-Madeleine
Terre meurtrie par l’invasion
Qui a blasphémé notre maison.
Je te croyais protectrice des ombres
Entourée de toute cette eau à la ronde.
J’ai dû lever l’ancre vers d’autres horizons
Et me prostituer à d’autres nations…
Hélène Camirand
La grande séduction
Dès mon arrivée aux Îles, le paysage m’a frappée par sa grande beauté. En me promenant dans ce décor enchanteur, j’ai été éblouie par tant de couleurs. En écoutant le parler chantant des Madelinots, j’ai été séduite.
Souvent en traversant les montagnes et les vallées, je me disais qu’il devait être fort agréable d’habiter ce magnifique archipel… et que je m’y plairais sûrement.
Devant ces maisons multicolores, j’ai eu la réflexion suivante :
« Ce sont des maisons colorées à l’image des gens qui y habitent. Ô combien colorés et d’une chaleur immense »
Et que dire de l’odeur de la mer… un mélange de sel, de poissons et tout autre habitant de la mer. Cette odeur est enivrante… Maintenant, je comprends les insulaires en exil lorsqu’ils disent s’ennuyer de l’odeur de la mer. On se sent chez nous.
Hélène Guay
Les bateaux, la vie.
Et si les bateaux écrivaient des mots sur l’eau.
Que nous diraient-ils?
Comme labour dans les champs
Ils nous raconteraient la vie des gens à bord.
Leurs labeurs, leurs misères,
Leurs bonheurs, leur histoire, leur vie.
Des vies vides, des vies pleines.
Vides d’épuisement ou peut-être
Pleine d’amour. Qui sait?
Les baleines, les bélugas, les maquereaux, les flétans, les morues, les macareux, les goélands seraient tous lecteurs.
Témoins silencieux de ces histoires simples ou compliquées. Témoins de la vie, de l’amour, de la mort.
Silencieux lecteurs d’un tracé dans l’onde.
Un tracé qui comme labour
Marque le temps.
Un tracé qui contrairement au labour
Marque aussi le temps.
Un temps très court, un tracé tout autant… éphémère.
Anonyme
Larguer les amarres, au quai de Cap-aux-Meules sous un soleil chaud. La mer, d’un bleu turquoise, nous accueille à bras ouverts. Des vaguelettes blanches dansent au gré du vent. On pourrait entendre la musique voler.
Sillonner les routes entre les maisons aux couleurs variées, aux formes typiques, les valons arrondis, les falaises rouges plongeant dans la mer.
Marcher sur le sable blond, chauffé par les rayons du soleil reflétant sur l’eau créant ainsi des gouttelettes d’argent.
La musique des accents colorés, eux aussi, des Madelinots fiers de leur archipel et qui nous en ont prêté une partie durant notre séjour pour en reprendre possession à notre départ.
Un archipel, au cœur du golfe St-Laurent qui nous donne envie d’y revenir une autre fois et de le découvrir encore plus.
Arabella
Crédit photos : Dominique Damien
Que dire de plus après ça! Je vous laisse savourer ces trésors.
Bonne semaine à toutes et à tous.
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